Deux langues rassemblées
« Pour moi, traduire, c’est ne plus être une personne coupée en deux, entre deux langues, deux cultures. Quand je traduis, en particulier Borges, tout se réunit en un seul courant, et je redeviens un écrivain avec deux langues rassemblées. »
—Silvia Baron Supervielle citée dans Florence Bouchy, Borges sentimental. L'histoire d'un livre, Le monde des livres, 20/03/2014.